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5 bonnes raisons de choisir l’instruction en famille quand on est un ado

Table des matières

Cet article est le n°11/52 du défi: “52 idées à explorer pour aider vos 12-25 ans à trouver leur voie”. Il participe à l’événement interblogueurs consacré à l’instruction en famille et organisé par Christophe et Sandrine du blog Apprendre par le Jeu. Vous retrouverez l’ensemble des articles qui ont participé à l’événement sur ce lien.

instruction en famille pour les ados

Les années « collège » et les années « lycée » ne sont pas les  années les plus simples dans la vie de nos enfants. En plus des chamboulements physiques et émotionnels liés à la puberté, ils doivent faire courageusement face aux injonctions de l’école et de la société : travaille bien, passe ton brevet, passe ton bac, choisis ton orientation, passe ton permis, vise un bon job !

C’est aussi le moment où ils cherchent à se construire une identité et à trouver leur place parmi les autres. Malheureusement, ils peuvent se heurter quotidiennement à des violences plus ou moins ordinaires : insultes, mises à l’écart, moqueries ou harcèlement !

Certains ados peuvent perdre pied face à autant de stress. Leur malaise va s’exprimer par des difficultés scolaires, par un mal-être, par des problèmes relationnels et pourra aller jusqu’à la phobie scolaire.Sad smile

Avant d’en arriver là, sachez qu’il existe une alternative qui peut leur permettre de prendre une véritable bouffée d’oxygène et de repartir du bon pied : l’instruction en famille.

Nous l’avons expérimentée avec nos 3 ados. Dans cet article, je vous explique comment cette pause hors-école a reboosté leur énergie et leur moral. Vous y trouverez 5 bonnes raisons de choisir l’instruction en famille pour aider vos ados à retrouver le sourire.

Notre expérience de l’instruction en famille

Lorsqu’elle est entrée en maternelle, Teengirl2 a eu beaucoup de mal à s’adapter à son nouveau rythme. Elle pleurait tous les matins avant de partir pour l’école et ça me brisait le coeur. Avec l’accord de la maîtresse, nous avons essayé le rythme d’alterner l’école le matin et sieste à la maison l’après-midi. Mais rien n’y faisait, ma fille était toujours aussi malheureuse.

Très vite, j’ai compris qu’elle n’était pas prête et me suis donc informée sur les alternatives qui pouvaient exister. J’ai découvert avec surprise que l’instruction n’était obligatoire que de 6 à 16 ans en France et que l’on pouvait instruire nous-mêmes nos enfants. Nous avions une solution ! Notre fille pouvait rentrer à la maison.Open-mouthed smile

A l’époque, mon mari et moi-même étions à notre compte et travaillions sur place. Nous  étions souvent présents à la maison. Teengirl2 a donc arrêté l’école et retrouvé sa joie de vivre pour être suivie quelques semaines plus tard par Teengirl1 qui ne trouvait pas ça très juste d’être la seule à partir tous les matins avec son gros cartable sur le dos. Et quand Teenboy est né, nous savions déjà que nous ne le scolariserions pas. J’ai donc arrêté de travailler pour m’occuper de tout ce petit monde.

Cette belle aventure a duré 6 ans. J’ai eu ensuite envie de reprendre un travail salarié à plein temps pour voir autre chose mais aussi pour que nous puissions nous refaire une santé financière. Les enfants ont dû sentir que j’étais moins disponible dans ma tête et ont demandé à aller à l’école bien avant que je rempile pour un nouveau job. Tout le monde est donc reparti dans le circuit “voiture boulot dodo”.

La réintégration s’est plutôt bien passée. Mes 3 loulous n’avaient pas de difficultés scolaires particulières et se sont très vite trouvé de bons copains. Ils ont vécu leur scolarité comme tous les autres gamins de leur âge entre les devoirs, les amitiés, les embrouilles, les activités et les réseaux sociaux. Leur expérience de l’”école à la maison” leur a permis de garder un certain recul par rapport à ce quotidien tout de même très épuisant. Ils savaient qu’une autre vie était possible.

Au bout de quelques années passées au collège, chacun des 3 enfants a fini par craquer à sa façon et à demander à revenir en instruction en famille. Malgré notre peur de les voir en échec scolaire, nous nous sommes débrouillés pour que ce choix soit possible. Nous ne l’avons pas regretté pour 5 bonnes raisons.

1- Se donner le temps de mieux se connaître

instruction en famille mieux se connaitre

L’adolescence est à la fois une période d’exploration du Monde extérieur et une période de construction du Monde intérieur. Nos enfants ont besoin de se frotter à d’autres opinions et à d’autres visions que les nôtres pour forger leur propre personnalité et leurs propres pensées : “qu’est ce que j’aime, qu’est ce que je n’aime pas ? Qu’est ce qui me révolte ? Qu’est ce qui m’enthousiasme ? Qu’est ce qui me fait oui ? Qu’est ce qui me fait non ?”. Des tas de questions sur la manière dont fonctionnent la société et les humains tournent dans leur tête. Ils ont un urgent besoin de réponses et d’expérimentation pour pouvoir s’incarner et devenir autonomes.

Le problème c’est que le rythme “transport/école/dodo” ne laisse guère de place à l’introspection et à l’échange avec des personnes éclairantes. Même si certains professeurs laissent la part belle aux débats et aux interactions dans leurs cours, il est impossible pour un élève de pouvoir s’exprimer individuellement et d’approfondir ses réflexions dans une classe où, la plupart du temps, il leur faudra se taire pour écouter un programme qu’ils n’auront pas choisi.

Il reste certes le soir et le week-end pour en parler avec les parents et vivre des expériences dans la vraie vie. Mais, soyons réaliste, nous savons tous que ce temps là est très limité.

Et pourtant, nous leur demandons à l’aube de leurs 18 ans, voire même de leurs 15 ans, d’être en capacité de faire leurs choix d’orientation. Comment peuvent-ils décider s’ils ne se connaissent pas, s’ils ne se sont jamais frottés à la vie réelle et s’ils n’ont jamais eu l’occasion de réfléchir à ce qui leur plaisait ou pas  ?

Après un joli parcours au collège, Teengirl1 n’a pas du tout apprécié son début d’année en seconde. Ils étaient 40 en classe. Elle savait qu’à la fin de cette année, elle devrait choisir une filière et ne savait pas très bien où elle irait. Elle galérait en maths et a perdu totalement confiance en elle. Un jour, elle s’est rendue compte que l’un de ses professeurs ne connaissait même pas son prénom. Elle a eu un déclic et a démissionné du lycée à la fin de son premier trimestre.

Son break de 1 an lui a fait un bien fou. Pendant 2 mois, elle a décompressé en ne faisant pas grand chose de ses journées. J’étais un peu inquiète. Puis, elle a recommencé à dessiner, lire ,écrire et faire du piano à la maison. Elle s’est lancée dans une troupe de théâtre et a participé à la réalisation de plusieurs films avec d’autres jeunes. Elle a pu se reconnecter avec ce qu’elle aimait vraiment faire. Nous avions pris les cours Pi pour les matières principales mais autant dire que ce n’était pas sa priorité et qu’elle n’y a quasiment pas touché. Ça m’a un peu angoissée pour la suite.

Puis, un jour, elle m’annonce qu’elle veut retourner au lycée et qu’elle souhaite se lancer dans des études littéraires. Les livres, l’Histoire, l’écriture, les débats, les idées, c’est son truc. Nous avons donc contacté le Proviseur du lycée pour une réintégration en première littéraire, ce qu’il a refusé dans un premier temps car elle n’avait pas fait de seconde et qu’il n’y avait pas eu de décision d’orientation. Il nous a proposé un redoublement en seconde. Nous avons posé un recours auprès de l’Inspection d’Académie. Teengirl1 a donc passé des tests qu’elle a réussis et a pu faire sa 1ère L et sa Terminale L au lycée jusqu’à l’obtention de son bac avec mention Très Bien.

Parfois, nos enfants ont juste besoin de prendre le temps de réexplorer leurs envies librement pour retrouver leur chemin. Quand ils font ce qu’ils aiment, ils réussissent et reprennent confiance. L’instruction en famille leur offre cet espace de liberté.

2- Se consacrer à ses passions et reprendre confiance en soi

instruction en famille se consacrer a ses passions

Certains adolescents ont la tête ailleurs que dans leurs études. Ils sont plus intéressés par d’autres domaines comme le sport, la musique, le cinéma…Une partie de ces jeunes peuvent combiner études et passion grâce aux classes aménagées moyennant un investissement physique et moral très important. Ce n’est malheureusement pas possible pour tous les enfants.

L’instruction en famille peut être une solution alternative pour permettre à votre ado de progresser et de développer ses talents.

Teengirl2 a elle aussi souhaité faire une pause en classe de seconde pour souffler parce qu’elle saturait du cadre scolaire. Elle en a profité pour se consacrer à sa passion.

A la danse, elle se sentait à l’aise, épanouie et bien intégrée dans son groupe, ce qui n’était pas du tout le cas au collège. Elle a donc pris 4 cours par semaine et est devenue danseuse bénévole pour l’association créée par l’une de ses professeurs. Elle a ainsi pu participer à des événements organisés pour les enfants malades, les personnes handicapées et les personnes âgées. Il lui arrivait de se lever très tôt le week- end pour aller aux répétitions. Elle n’en a ratées aucune et a respecté tous ses engagements avec plaisir.

Les professeurs ont toujours vu Teengirl2 comme une jeune fille effacée et peu impliquée dans ses études. Et pourtant, sur scène, j’ai découvert une danseuse confirmée, rayonnante et touchante.

Pour finir, après avoir dansé pour de jeunes enfants malades à l’hôpital, elle m’a expliqué qu’elle aimerait beaucoup s’occuper d’enfants dans son futur métier. L’année suivante elle a intégré la filière sanitaire et sociale…Une graine a été semée !

3- Prendre le temps de construire des relations positives avec les personnes de son choix

instruction en famille tisser des liens positifs

Souvent, lorsque nous expliquons que nous avons déscolarisé nos enfants, les gens nous posent cette première question : ”et ça se passe comment pour les copains et la socialisation ?”.

Mes enfants n’ont jamais eu de difficultés à  nouer des contacts avec d’autres enfants et d’autres adultes quelque soit le contexte (école, vacances, loisirs…). Ils peuvent parfois être sur la réserve le temps de savoir à qui ils ont à faire.

Par contre, ils se laissent rarement influencer par la pression du groupe, surtout lorsqu’il s’agit de se moquer ou d’harceler un autre camarade. Ils ne comprennent pas l’injustice et la violence. Certaines situations vécues au collège  les ont d’ailleurs fatigués ou révoltés.

Malheureusement, il n’est pas rare que les enfants soient victimes ou témoins de harcèlement à l’école (NB : 1 élève sur 10 est concerné en France selon le délégué ministériel chargé de la prévention et de la lutte contre les violences et 3 adolescents sur 10 à l’échelle des Pays d’Europe et d’Amérique du Nord selon L’UNICEF).

Dans le cadre de l’instruction en famille, nos enfants ont pu prendre de la distance avec ces situations difficiles. Le gros avantage de ce mode d’instruction reste qu’ils ont la liberté de garder ou de créer des liens avec les personnes de leur choix.

En tant que parents, nous sommes leurs premiers soutiens et les premières personnes à qui ils peuvent se confier. Si nous arrivons à les écouter sans trop intervenir ni les juger (je sais, c’est parfois dur mais il faut essayer, ça vaut le coup !), les liens qui se tissent avec eux sont extraordinaires. Il en est de même avec les autres membres de la famille comme par exemple les grands-parents.

Pendant son année hors école, Teengirl2 a un jour décidé de prendre le train seule pour passer quelques jours avec sa mamie. Sur place, elle a sympathisé avec la meilleure amie de sa grand-mère avec qui elle a beaucoup ri.

Son expérience de danseuse bénévole lui a également permis de côtoyer des personnes engagées et généreuses, ce qui, j’en suis persuadée, l’a marquée positivement. Cela lui a permis d’oublier les conflits entre copains dans lesquels elle baignait au collège.

Dans le guide “Libérez votre Pouvoir Naturel d’Apprendre”, j’explique combien il est primordial pour notre santé mentale et notre bonheur de nous entourer de personnes positives et bienveillantes.

La négativité est contagieuse ! Si votre enfant a besoin de souffler par rapport à des relations difficiles qu’il a au collège ou au lycée, ne le laissez surtout pas sombrer et étudier toutes les possibilités pour le sortir de cette mauvaise passe ! L’instruction en famille peut être une des solutions envisageables.

4- Respecter son rythme

instruction en famille respecter son rythme

Nous habitons en montagne. Pour se rendre au collège, les enfants doivent se lever à 6h30. Le soir ils ne rentrent pas avant 17h45 (s’il y a une activité, ils rentrent plus tard). Ils enchaînent avec les devoirs puis il est déjà l’heure de manger et de se coucher.

Dans une étude publiée dans le Journal of Sleep Research, Geneviève Gariépy, chercheuse à l’Université McGill, explique que si les cours débutaient plus tard, les adolescents dormiraient plus et leurs chances de réussite seraient meilleures. Le problème, selon elle, c’est qu’en raison de son horloge biologique, un adolescent n’est pas fait pour se lever tôt. La puberté retarde de 2 à 3 heures l’heure du coucher, rendant l’endormissement difficile avant 23h. Il ne peut pas non plus se lever avant 8 heures. En clair, les adolescents luttent sans arrêt contre leurs rythmes biologiques naturels pour pouvoir arriver à l’école à l’heure !

C’est une des raisons pour laquelle Teenboy a quitté l’école. En effet, le soir il continuait à lire dans son lit après le repas et se couchait tard. Le matin, il se levait avec des yeux de Droopy.

Si l’on reste sur la question des rythmes, il s’ennuyait aussi beaucoup en cours. Lorsqu’il avait fini ses exercices avant les autres élèves, il chahutait avec ses copains et se faisait reprendre. Il devait attendre les bras croisés que la cloche de fin de cours retentisse et le libère. Teenboy, qui est pourtant un garçon très curieux avec des goûts très éclectiques, commençait à régresser et à s’éteindre en classe.

Quand j’ai décidé de prendre une disponibilité, il en a profité pour poser son congé. Depuis qu’il est instruit à la maison, il ne se lève pas avant 10h et s’active jusqu’à 22h le soir. La vie est belle ! Mais attention, lorsqu’il a envie d’aider son papa à la ferme, il arrive à se lever sans broncher à 5h30 du matin pour aller traire les vaches !

5- REtROUVER LE plaisir D’APPRENDRE

“Nous devons partir de là où en sont les personnes, parce qu’elles grandiront à partir de ce point, et pas à partir d’un point abstrait ou de notre point à nous ou de celui de quelqu’un d’autre”, Myles Horton

S’instruire en famille, cela signifie, en ce qui nous concerne, ne plus subir la pression des évaluations, des devoirs, du jugement des autres et du rythme imposé par l’école.

L’avantage de ce mode d’instruction est justement de pouvoir laisser nos enfants décider de ce qu’ils ont envie d’apprendre et des moyens qu’ils veulent se donner pour y arriver. Pour que leur potentiel s’exprime pleinement, notre rôle, en tant que parents, sera de veiller à ce qu’ils puissent évoluer dans un environnement enrichissant et dénué de stress.

Pour tirer tous les bénéfices de ses apprentissages, votre ado doit pouvoir partir de ses intérêts et avoir la liberté de décider de son organisation. Lui seul sait ce dont il a besoin à un instant T pour grandir et progresser. Il va tâtonner et certainement faire des erreurs. Cela fait partie de son initiation. C’est comme cela qu’ il apprendra durablement et qu’il deviendra autonome. Nous sommes là pour le guider et être à son écoute.

Essayons de ne pas lui donner trop vite de conseils et de solutions. Laissons le explorer et expérimenter jusqu’à ce qu’il ait fait le tour de ses investigations. Le plus délicat sera de trouver notre juste positionnement de parent. Comment être présent sans être trop envahissant ?

Quand Teenboy a redémarré l’instruction en famille, il a décidé d’utiliser des manuels scolaires pour continuer à apprendre les matières principales ! J’ai été surprise Surprised smile ! Je trouvais dommage qu’il n’utilise pas de supports plus ludiques et plus pratiques. Mais après tout, il est libre de choisir les outils qui lui parlent le plus. Il doit avoir de très bonnes raisons d’avoir opté pour ces solutions. De temps à autre, je lui touche tout de même un mot sur d’autres ressources qui existent et je le laisse faire.

Pour finir, je voulais vous raconter cette histoire étonnante tirée du livre “The Big Picture” de Dennis Littky qui illustre merveilleusement bien l’importance de partir des centres d’intérêt des jeunes :

Dans son collège public, Chea était une élève en décrochage scolaire qui se bagarrait souvent avec les autres. Elle a intégré The Met, une école pas comme les autres qui part des intérêts des jeunes pour leur construire un parcours scolaire sur mesure. Chea a décidé qu’elle étudierait la mort, ce qui a au départ déconcerté son référent. Heureusement, l’école est restée fidèle à ses principes éducatifs et a laissé la jeune fille explorer son sujet. Chea a donc commencé à visiter des funérariums, des cimetières et à interviewer des personnes sur la mort. Elle était passionnée par ses recherches. Elle a bûché sur 23 versions de son rapport de restitution et a réalisé un exposé devant les familles, les élèves et le personnel du Met. Elle était très fière de son travail !

Une personne a levé la main pour lui demander si elle allait continuer à travailler sur ce sujet. A la surprise de son référent, elle a répondu que non et a expliqué : “la mort a occupé 98% de mon temps. C’est bon, j’en ai fini avec elle. Je peux passer à autre chose. Je m’y suis intéressée parce qu’un ami à moi est mort récemment. Et puis, j’avais envie de comprendre ce qui était arrivé à mes ancêtres au Cambodge quand ils ont été tués par les Khmers rouges”.

Voilà, c’était aussi simple que cela. Chea s’est juste occupé de ce qui faisait sens pour elle à ce moment-là. Cela a été une leçon plus puissante que le meilleur des cours qu’on aurait pu lui proposer. Après cela, elle a étudié la mode et l’informatique et a continué ses études à l’Université.Rainbow

instruction en famille un choix positif

L’instruction en famille a toujours amené du positif dans la vie de nos enfants. Elle n’a pas non plus résolu tous les problèmes. Nous avons encore du chemin à faire pour les aider à devenir des adultes autonomes et épanouis.

J’ai souhaité partager ce vécu pour que vous sachiez que cette alternative existe. Je vous laisse explorer et expérimenter vos solutions à votre rythme depuis là où vous en êtes sur votre chemin. L’essentiel est que vous puissiez faire vos choix en conscience.

Si jamais l’aventure de l’instruction en famille vous tentait, n’hésitez pas à contacter des familles qui sont passées par là et à échanger avec elles avant de vous lancer. Vous pouvez lire le témoignage de Christophe et Sandrine pour commencer.

Je vous invite à oser vous faire confiance en tant que parents,  à oser faire confiance en vos ados et à oser faire confiance en la Vie !

A bientôt sur Learneuse.com !

Pour aller plus loin :

Association les Enfants d’Abord

Association L.A.I.A.

Association C.I.S.E.

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